Visite guidée de la Maison des journalistes – Paris 15ème.
Qu’est-ce que la liberté d’expression et où s’arrête-t-elle ? A-t-on, oui ou non, le droit de tout dire et quelles sont les limites au-delà desquelles l’opinion et la parole tombent sous la coup de la loi ? Mais comment peut-elle aussi être menacée en France comme à l’étranger ? C’est à ces questions complexes qu’on tenté de répondre les élèves de deux classes de Seine-Saint-Denis, à travers leurs reportages sonores
En partenariat avec la Zone d’Expression Prioritaire (ZEP), une classe du lycée Léo Lagrange de Bondy a préparé et enregistré une émission de radio à l’occasion de la venue de Latifa Ibn Ziaten en mai 2018.
Nous avons le plaisir de vous présenter le résultat des deux ateliers menés* cette année par le slameur Edgar Sekloka. Dans ces 4 chansons, les élèves ont été invités à se livrer et à exprimer souvenirs, réalités ou anecdotes… Elles sont le témoin d’une génération qui se pose de multiples questions.
Comment se construire en tant qu’adolescent aujourd’hui, quelle est la place des filles et des garçons et comment faire bouger les lignes au moment où une part importante des contenus audiovisuels (publicité principalement) sexualisent les corps, normes les relations femmes-hommes et assignent les individus dans des rôles. Ces « assignations » à être ou ne pas être ont un impact important sur les adolescents. C’est dans ce contexte que des élèves de 4ème du Blanc-Mesnil se sont engagés cette année dans le projet « Cuerpos ».
Au mois de janvier, les élèves de 3ème B du collège Romain Rolland (Tremblay-en-France) ont rencontré Clémence Revuz, chargée de la médiation et de l’action culturelle au Musée Albert Kahn[1]. Pendant la durée des travaux, le musée propose un certains nombre d’ateliers « hors les murs » donnant un infime aperçu des « Archives de la Planète ».
Qu’est-ce qu’une information, un journal, un-e journaliste, une photographie de presse ? Pour la grande majorité des adolescents d’aujourd’hui – hyper connectés aux réseaux sociaux et par ailleurs, peu consommateurs de médias dits « traditionnels » – ces questions sont loin d’être évidentes. C’est dans ce contexte de fortes mutations, dans les façons de s’informer et de vivre l’actualité à travers les images, que des élèves de 3ème du Blanc-Mesnil se sont engagés cette année dans le projet « The big picture » portant sur le photojournalisme et les médias. Dans ce cadre, ils ont rencontré et travaillé pendant plusieurs mois avec deux photojournalistes. Ensemble, ils se sont engagés dans la création d’un journal.